•  Tuillerie


     de Joel et Ethan Coen


    C'est LE meilleur court métrage de Paris je t'aime.



    Tuilleire, c'est un homme (a la physionomie amusante (comme Bean) ) qui attend le métro seul (plus une grosse dame et son gosse très antipatique) sur le quai et qui lit un manuel sur Paris.



    Cet homme, Steve Buscemi, un touriste américain ou anglais, croise alors le regard d'un couple sur la quai en face. (le couple étit en train de s'embrasser fougueusement). S'ensuit alors une scène extrêment comique (pour nous). Le "mec" interpelle le touriste : "qu'est ce tu r'garde connard ?" (en plus le touriste capte que dalle vu qu'il est étrangé).



    Je ne peux pas vous résumer le court métrage juste dire qu'il vaut le détour. 



    Ce n'est un comique lourd et gras, c'est subtile, amusant et bien travaillé. Par contre ce n'est pas rassurantsi c'est ainsi que nous voit les américains ! 


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  • Faubourg Saint Denis


    de Tom Tykwer


    Faubourg Saint-Denis est l'un des meilleurs courts métrages de Paris je t'aime.



    De toute manière je ne prlerais que de ceux que j'aime.



    Les acteurs principaux sont Nathalie Portman et Melchior Belson.



    Ca commence par un coup de téléphone, Francinne (N. Portman) annonce de manière très poétique (ce n'est pas de l'ironie,c'est une très belle phrase sur les saisons, à peu près, de tête : "Nous avons eu nos printemps et notre été et ils ont été très beaux mais on a pas vu l'automne et maintenant c'est l'hiver. Adieu !")



    Donc Francinne raccroche et Thomas (Melchior B.) va alors rester planté là à se remémorer leur histoire, depuis leur rencontre. Il s'explique ainsi comment ils ont fait pour en arriver là, ce qui les a séparé et nous, gentils spectateur ont est triste pour eux TT).



    Donc je ne vais pas vous racconter ses flash back, sachez que l'interêt de ce court métrage, outre cette histoire gentillette, réside dans sa qualité esthétique, les images sont belles, travaillés, les acteurs sont plein de charmes. Il y a de très jolies images (dans le sens de très jolie représentation pleine de symbole) c'est simple mais efficace.



    Et bien que l'histoire se situ donc beaucoup dans le flash back, elle reste très vive et animé, de part la musique et le rythme des images.



    Ca se finit avec humour, il y a une chute qui fait sourire et rassure ... mais je ne vous la dit pas on ne sais jamais si un jour vous allez le voir ...


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  •  


    Valà l'affiche américaine, je la trouve très classe aussi, c'est plein de Tour Effel rouge qui forme un coeur (je précise car je sais pas si ça sera très visible une fois rétrécie ^^).


    J'aime bien l'idée, et puis deloin en clignant des yeux, ça ressemble à un coeur qui explose et envoie du sang de partout comme un feu d'artifice. . .


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  • Paris je t'aime


    C'est un cumul de plein de court métrage portant chacun le nom d'un quartier de Paris.


    Si certain sont passablement ennuyeux d'autres à eux seuls valent largement une place de cinéma. C'est aussi amusant de voir quel regard les étrangers jetent sur notre capital. Bon évidement, là, c'est cliché ce que je dis mais comme je ne peux pas mettre plusieurs images pour un même texte, je garde mes "super commentaire" (non pas égocentrique) pour mes autres super image.


    Donc là je remarque juste que je trouve cette affiche vachement classe et qu'elle est une belle incitation à dépenser 7€ dans une salle obscure. ^^


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  • Une femme dans un fauteuil, le port royal,



    Attend. Un verre vide dans sa main tendue,



    Les cheveux détrempés comme s'il avait plut,



    Les yeux vagues brillants d'une soif animale... 



     



    Sans rompre le silence, un homme en noir et blanc



    Entre, un plateau dans les bras, les yeux clos, l'air froid.



    Seule une bouteille sur ce plateau d'argent,



    Trône dignement, gracieuse et pleine d'appâts. 



     



    Etrangement, l'homme ne fait aucun faux pas,



    Et l'alcool s'écoule sans une goutte en trop...



    Le vin chaud cogne alors contre le verre froid,



    L'homme laisse la bouteille et part sans un mot. 



     



    Seule, lasse, la femme contemple son verre,



    Et, rêvant d'une plume, le porte à sa bouche,



    Commençant l'ascension tout droit vers les Enfers,



    Découvrant dans son cœur une lueur farouche. 



     



    Le vin précipité comme l'eau d'un torrent,



    Perpétuellement se répand dans ses veines..



    Poétesse imbibée d'un monde décadent,



    Cuvant tous ses non-dits, empêtrée dans ses chaînes... 



     



    Elle se débat la reine des cauchemars,



    Amante du vin et de la sobriété,



    Le premier s'effaçant déjà dans le brouillard,



    L'autre s'offrant à elle pour l'éternité...



     



    Quelqu'un


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