• Livre déconseillé aux dépressifs.


     


    C'est l'histoire de Hell, jeune fille belle et riche totalement désabusé de la vie qui va tomber amoureuse et connaitre une véritable descente aux enfers.


     La quatrième de couverture : "Je suis une pétasse. Je suis un pur produit de la Think Pink génération, mon credo : sois belle et consomme."


     


    Hell a dix-huit ans, vit à Paris Ouest, se défonce à la coke, est griffée de la tête aux pieds, ne fréquente que des filles et fils de, dépense chaque semaine l'équivalent de votre revenu mensuel, fait l'amour comme vous faites vos courses. Sans oublier l'essentiel : elle vous méprise profondément...


    Jusqu'au soir où elle tombe amoureuse d'Andréa, son double masculin, séducteur comme elle, et comme elle désabusé.


    Ensemble, coupé du monde, dans un corps à corps passionnel, ils s'affranchissent du malaise qu'ils partagent. Mais les démons sont toujours là, qui veillent dans la nuit blanche de ces chasseurs du plaisir.


    Entre romantisme et cynisme, voici les débuts d'un "adorable monstre" de dix neuf ans.


     


    Voilà, donc ce bouquin à lire absolument.


    L'ambiance vous étouffe, entre réference poétique et d'actualité, il vous plonge dans un univers dont on ne ressort pas indemne.


     


    Pour ce qui l'aurait lu : MAIS POURQUOI ?


    Pourquoi cette fin ? pourquoi pas autrement ? Arg ! j'en ai pas dormi, je me demande si le film a la même fin, en tt cas pour ceux qui aurait lu, laissé un com pr dire votre sentiment ^^ michi.


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    Je n'ai rien à dire, tout à penser.


     


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  • La bulle est éreinté,


    elle veut se tuer,


    la bulle est névrosée,


    et elle a éclaté... 



     



    Le savon lisse, lisse,


    A perdu la notice,


    Le savon glisse, glisse,


    Au bord du précipice... 



     



    La brosse à dents en larmes


    A déposé les armes,


    Brosse à dents en alarme


    A perdu tout son charme... 



     



    Lavabo plein de sang,


    Hémorragie du temps,


    Lavabo recrachant


    Ce dentifrice aimant... 



     



    Je suis le dentifrice


    Au cœur feu d'artifice,


    Seulabre dentifrice,

    Humble âme spectatrice....


     Quelqu'un




     



    (je vous supplie de ne pas mettre de comm là dessus, j'ai dja assez honte^^)


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  • Je suis plongée dans un coma végétatif depuis ce matin, c'est une maladie chronique chez moi. Mais qu'ai je fait pour ne pas être comme tout le monde ? Je me pose la question. Après avoir regardé le lustre de ma chambre sous tout les angles j'essais de m'atteler à l'écriture de mon scénario, mais c'est compliquer de savoir ce que l'on veux ... Je pensais adapter le livre de Paulo Coelho, Veronika décide de mourir, mais plus j'y pense moins je colle à l'histoire (mais je suis toujours fermement décidé à commencer mon court métrage par le suicide (raté) de l'héroine).



    Il me reste très difficile de tourner dans une clinique et j'ai envie en premier lieux de créer une ambiance, je renvois à Virgin suicide ou Stay entre autre et puis à Hell (que je n'ai pas encore vu) qui illustre à peu près mon état d'esprit du moment : c'est du n'importe quoi !


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    Sans rancune, sous la lune
    On applaudit les somnambules
    Pas trop fort, juste un réconfort
    Pour leurs efforts
    Dans la nuit, juste un bruit
    Celui de leurs pas sur les toits
    Cible, ô sensible, tu t'immobilises
    Au bord de l'abîme

    Trois pas en arrière
    Que glacent nos artères
    Trois pas en avant
    Pour prendre le temps
    D'imaginer la chute, mais chuuut...

    Sans rancune, sous la lune
    On applaudit les somnambules
    Pas trop fort, juste un réconfort
    Pour leurs efforts
    De tous ceux qui, dans la nuit
    Sans se soucier vivent un rêve
    Et leurs yeux, leurs yeux grands ouverts
    Ne voient pas le danger

    Une ombre menaçante
    Abîme dans l'attente
    Juste un fil dans le vide
    En suspend, l'oeil livide
    Est-ce là le moment de la chute, mais chuuut...

    Sans rancune, sous la lune
    On applaudit les somnambules
    Pas trop fort, juste un réconfort
    Pour leurs efforts
    Dans la nuit, juste un bruit
    Celui de leurs pas de gouttière
    Qui s'effacent, sans en avoir l'air
    Dans l'écrin d'un bon lit...






     






    Sous la lune, de Paris Combo






    Elle me fait délirer cette chanson


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