• Dans l'or de sa vapeur rouge,

    Comme un soleil couchant dans un ciel nébuleux

       

               C.B. Le Poison

    (voir poésie)


    votre commentaire
  • Voilà ça c'est pour véro


     (non pas que je souhaite ta mort ! Ce serait un crime puisque les blondes sont désormais une espèce protégée)


    Mais une tombe scultée en ordi si elle n'est pas faite pour toi c'est qu'il n'y a pas de logique en ce monde. . .


    votre commentaire
  • Et voilà, un autre bouquin que je recommande : Raison et Sentiments, toujours de Jane Austen, (j'adore cet auteur ! Je suis folle de tout ce qu'elle a fait) Donc là c'es l'histoire de deux soeurs, Elinor (la raison) et Marianne (les sentiments). Toutes deux tombent amoureuse mais voilà comme c'est du Austen, ya plein d'embrouilles, de secrets, de questions et il nous sort des obstacles à ces amours toutes les trois secondes enfin comme c'est du austen, c'est beau, bien écrit, elle a le don de vous projeter dans le quotidien du XVIIIe, et les saisons passent au fil des pages ....


    A LIRE ! ! !


    votre commentaire
  • Sometime the last person on earth you want to be with


    is the one person you can't be without 


     


    Bas de l'affiche de Orgeuil et Préjugés... de Joe Wright


     


    1 commentaire
  • Le saule




    Pâle étoile du soir, messagère lointaine,
    Dont le front sort brillant des voiles du couchant,
    De ton palais d'azur, au sein du firmament,
    Que regardes-tu dans la plaine ?

    La tempête s'éloigne, et les vents sont calmés.
    La forêt, qui frémit, pleure sur la bruyère ;
    Le phalène doré, dans sa course légère,
    Traverse les prés embaumés.

    Que cherches-tu sur la terre endormie ?
    Mais déjà vers les monts je te vois t'abaisser ;
    Tu fuis, en souriant, mélancolique amie,
    Et ton tremblant regard est près de s'effacer.

    Étoile qui descends vers la verte colline,
    Triste larme d'argent du manteau de la Nuit,
    Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine,
    Tandis que pas à pas son long troupeau le suit, -

    Étoile, où t'en vas-tu, dans cette nuit immense ?
    Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux ?
    Où t'en vas-tu si belle, à l'heure du silence,
    Tomber comme une perle au sein profond des eaux ?

    Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ta tête
    Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux,
    Avant de nous quitter, un seul instant arrête ; -
    Étoile de l'amour, ne descends pas des cieux !
    [...]


    votre commentaire